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On y parle de "gravage" et des naufrageurs.
Effectivement, sur ces côtes sauvages, battues par les vents, la mer dépose divers objets sur les grèves, particulièrement aprés les tempêtes.
Nous allions donc "faire gravage", récupérer tous ces objets trés divers amenés par la mer, qui pouvaient aller jusqu'à l'épave d'un bateau.
Je vous assure qu'au bout de deux jours, entre la mer et les indigènes, il ne restait plus rien du bateau, tout était récupéré ou reparti plus loin.
Je n'ai pas connu l'époque où mes ancêtres allumaient des feux sur les terres pour tromper les navires et les faire s'échouer, pour ensuite les piller, mais le fait de tromper les gabelous (douaniers) avec la contrebande est resté fortement ancré, ce n'est pas si loin. Vous avez pu constater qu'il m'en reste quelque chose
PF